(N'ayant pas déterminé l'ordre de passage, ça sera au feeling un peu XD c'est assez court car je pense que je suis déjà assez en retard comme ça sur ce rp)

Ouverture de rideau sur une salle, mais pas un salle normal, une salle de théâtre, une salle où on peut laisser libre court à une imagination hors-norme. Cette salle était composée d’une scène, mais aussi devant elle, des sièges très confortable. Néanmoins, depuis quelques temps cette salle restait dans le noir et pour la première fois, elle s’alluma pour être utilisé dans le but bien précis pour lequel elle avait été créer : le théâtre.

Les lumières s’allume, une personne se tient près de l’interrupteur sur lequel il a toujours le doigt posé.

— Hé bien, ils ne se sont pas moqués de moi sur ce coup, c’est une vrai théâtre, enfin des personnes qui prennent en considération cet art admirable !

Affichant un air satisfait, le jeune homme avança dans la salle, observant les recoins de la pièce avant de poser son sac sur un des sièges confortable.

— Il va y avoir du boulot, cette scène n’est pas très vivante, messieurs, vous pouvez y aller !

Le professeur s’adressait à des hommes attendant sur le pas de la porte, ces derniers apportèrent des décors, des costumes, des étagères où serait posé prochainement les scripts de dizaines de pièces et de leurs personnages, les artistes en herbe devrait en être ravi. Finalement après quelques instants, la pièce commença à bien vivre, Andrew appréciait, il aida alors les déménageurs à transporter des enceintes et à les fixer à des endroits stratégique pour une bonne répartition du son. Une fois le boulot terminé, le Mc Alligan voulu se rendre compte du son et comme les élèves allaient arriver, il alla se changer. Enfilant une tenue faisant penser à une tenue de majordome, le professeur s’avança sur scène et déposa dans les mains des déménageurs des pourboires en s’exclamant distinctement et d’un façon assez anglaise.

— Voici pour vous messieurs, je vous souhaite une bonne journée et à bientôt je l’espère.

Inclinant le buste, la main sur le coeur, il les regarda s’en aller et une fois qu’ils eurent franchis la porte, Andrew aller d’un pas ferme vers le lecteur de cd et lança une musique de valse assez tranquille, prenant une robe par la taille, le professeur se mit à danser sur la scène avec grâce, sachant ce qu’il faisait, accompagner par cette robe qui n’avait pour seul porteuse : l’air.

— La danse est un dérivé du théâtre, si l’on ne sait pas danser, c’est qu’on ne connaît pas le langage du corps alors on est très mauvais acteur, n’est-ce pas ma chère ?

Hé oui, le comédien parlait avec la robe, durant quelques minutes il tailla la discussion avec le bout de tissu comme s’il était une vrai personne. Après une vingtaine de minutes, il entendit la porte s’ouvrit et se refermer, plusieurs personnes étaient entrés dans la salle, aux nombres de 4 précisément, les personnes ayant pris une option théâtre étaient très peux nombreuses, mais cela ne durait certainement au fur et à mesure des séances. Affichant un sourire, s’inclinant en posant sa main sur son cœur, le jeune homme aux yeux vairons observa les personnes présentent.

— Bonjour mesdemoiselles, bienvenue au cours d’Andrew Mc Alligan, j’espère que vous passerez du bon temps dans ce temple de l’art. Mais pouvez-vous vous présenter avant tout ?

Gardant son sourire radieux, le professeur comme chaque enseignant cherchait à mettre en confiance ses nouveaux élèves, fin dans ce cas ci les futurs comédiens.

Cela fait déjà environs un mois que le jeune Tsukiyo étudiait à l’académie Strawberry, et elle s’y plaisait. C’est en se promenant tranquillement dans les couloirs, d’un pas tranquille, et lent, avec un sourire aux lèvres, et essayant de trouver quelque chose qui la sortira de l’ennuie qu’elle vivait en ce moment précis, qu’elle entendit des personnes parler d’un certain professeur, qui donne des cours de théâtre. Elle demanda à ces personnes plus d’informations, et elle les eut. L’idée d’avoir des cours de théâtre lui plut, depuis qu’elle était toute petite, elle aimait le théâtre, et ça lui est arrivé de prendre un ou deux cours, étant surtout beaucoup occupée par le piano à l’époque.

Cela faisait déjà un bon bout de temps, que la jeune Kyouki était assise sans bouger dans sa chambre, et réfléchissait à tout et rien. On ne dirait pas comme cela, mais elle se posait beaucoup de questions sur les cours qui vont être donnés, à ce que va ressembler la salle, et qui sera le professeur qui leur donnera cours, ainsi que les personnes avec qui elle aura cours, mais bon, elle aura bientôt les réponses à ses questions. Osore, elle, était beaucoup moins patiente, et les cours ne l’enchantaient guère. Et sans aucune hésitation, elle le faisait remarquer à Tsukiyo, qui lui répondait à chaque fois « trop tard ».

Et enfin vint l’heure du début de l’heure du cours de théâtre. Avec un léger retard, Tsukiyo sortit de sa chambre, et d’un pas rapide, marcha vers la salle de théâtre, et une fois sur place, fut rassurée, vu qu’elle était à l’heure. Osore était elle très mécontente, et n’arrêtait pas de faire des remarques désagréables, mais Tsukiyo ne réagissait pas, et écoutait son, si c’est possible de dire autre personnalité – gindre, tout en l’ignorant, la seule chose que fit la jeune schizophrène, fut de pousser un énorme soupir, et d’avancer dans la salle, avec les autres participants.

Une fois dans la salle, la jeune fille ouvrit grand les yeux, c’était la première fois qu’elle voyait la salle de théâtre, et celle-ci lui paraissait énorme. Il y avait des sièges, qui avaient l’air d’être confortables, puis il y avait aussi une scène. Une grande scène. Tsukiyo observait chaque coin de la piève, pour ne rien rater, absolument rien. C’était peut être exagéré, mais elle était comme ça, et sur le coup, elle ressemblait surement à un jeune enfant. « Minable » fut la seule chose dite par Osore.

— Bonjour mesdemoiselles, bienvenue au cours d’Andrew Mc Alligan, j’espère que vous passerez du bon temps dans ce temple de l’art. Mais pouvez-vous vous présenter avant tout ?

« Mesdemoiselles », lorsque ce mot fut prononcé, Tsukiyo observa au tour d’elle, effectivement, parmi les personnes présentes pour le cours de théâtre, il n’y avait pas un seul homme. Cette fois-ci, la remarque d’Osore fut « n’importe quoi ». Mais la jeune Kyouki ne l’écoutait déjà plus, trop occupée à observer la salle, ainsi que tous ceux qui allaient participer au cours théâtre. En effet, toutes les personnes présentes dans la salle, étaient plus ou moins des visages inconnus pour elle.

N’étant pas une jeune fille timide, mais polie, Tsukiyo prit la parole :

- Bonjour. Je m’appelle Tsukiyo Kyouki.